Il y a trois ans il veillait, à son agonie, l'un des miens, attentif au moindre signe de sa douleur et prêt à faire aussitôt le geste qui soulage. Il vient de mourir à son tour, brisant de nouveau et du même coup la chaîne de nos vies. Mais la vie étant toujours la plus forte, elle va forcément se ressouder. Jusqu'au prochain maillon faible. C'est la dure loi de la vie. Ou de la mort. C'est selon. La roue tourne toujours. Il le faut bien. Même si c'est difficile à accepter. Surtout quand il s'agit de nos proches ...
Commentaires
Je compatis"Flo"!parfois la mort correspond à la fin des souffrances pour celui qui part,pour ceux qui restent après la peine qui est grande au fil du temps elle s'apaise.BBises
Bonjour Florentin, début juin je perdais une amie chère, je comprends ta peine, de tout coeur avec toi. Amitiés.
C'est souvent que vous avez à faire face à ces moments , Même si cela ne peut guère vous aider , toute mon amitié Florentin
arf un moment difficile la perte de nos proches mais quand il n'y a plus rien à faire et qu'ils souffrent des fois mieux vaut que cela cesse !
j'aime pas ça ...
paix à son âme...
Toutes mes pensées vont vers toi
Bises
Difficile de trouver des mots qui puissent atténuer la douleur mais ce n'est pas une raison pour ne pas essayer.
On perd quelqu'un quand on ne pense plus à lui, quand on a plus d'amour pour lui. On ne le perd pas vraiment quand il vit au fond de nous, quand il parle à travers nos mots, quand ce qu'il a été se retrouve un peu dans ce que l'on est.
Quelqu'un a dit que l'absence ne supprime pas la présence. Tout comme l'éloignement n'empêche pas la proximité. Courage.
Amitiés sincères...Douloureux momemts auxquels nous sommes tous confrontés : l
Il y a un mois je perdais une parente dont j'étais très proche...
...c'est une épreuve terrible que de voir souffrir puis nous quitter pour toujours ceux et celles que l'on apprécie, que l'on aime.... que dire?
Je suis de tout coeur avec toi,
Bises de Mireille du sablon
Bonsoir Florentin, mes sincères condoléances. Amitiés, fanfan
Qu'il repose en paix ...
La mort est bien un Dies Irae. Colère de dieu lors du jugement dernier, mais aussi colère des hommes. L'an dernier, l'un de mes frères (plus jeune que moi) est décédé d'un cancer (6 mois terribles). Chagrin, peine, détresse mais aussi colère. Pourquoi lui ? Et pourquoi à ce moment-là, avant les aînés ? Quant aux conditions de fin de vie, c'était encore plus terrible. Nous nous sommes tous relayés à son chevet, les nuits étaient infernales. C'était notre impuissance à le soulager qui nous révoltait. Certes, notre présence lui faisait du bien, mais le voir de jour en jour dépérir, ne plus se nourrir, végéter en tout en endurant des souffrances que nous ne pouvions partager, oui, c'était abominable. Il a été très entouré. Que faire d'autre ? Mais l'après n'est pas évident non lus. Il nous manque.
Il est dur de voir partir des amis ou connaissances mais quand il s'agit de proches c'est encore plus dur!
Toute mon amitié
marc nesci