Auteur : Florentin
Date de création : 14-08-2014
Les vieux coûtent
Les seniors au travail vont-ils coûter un pognon de dingue à la Sécurité sociale ? La Caisse nationale d'assurance-maladie s'interroge.
De 2013 à 2016, le coût des arrêts-maladie est passé de 6,3 milliards d'€uros à 7,1 milliards. Et c'est là que les anciens sont pointés du doigt. Le rapport accusateur relève, par exemple, que les arrêts longs de travail concernent surtout les plus de 60 ans. Ils cessent, en ce cas, de travailler 76 jours par an en moyenne, deux fois plus que l'ensemble des salariés (33 jours).
Normal évidemment, ils sont exposés, parce que vieux, à des pathologies qui durent. On n'avait pas pensé à ça quand on a décidé de faire grimper l'âge de la retraite à 62 ans
Vous voyez, bien sûr, où je veux en venir. Pour sauver la Sécurité sociale (ou, en tout cas, participer à son sauvetage) abaissons l'âge de la retraite !!!
Commentaires
..ben moi ,je suis pour !!!! même si je suis en retraite depuis 2009 à 56 ans ( fonctionnaire soignante). j'avais le dos opéré, puis les épaules..j'ai du la prendre plus tôt que les autres si je ne voulais pas être plus handicapé...il faut mesurer les conséquences quand on fait une loi...
Bises du jour,
Mireille du Sablon
Les vieux, les vieux, toujours les vieux. Coupables d'être âgés et de coûter bonbon. Z'en ont pas marre de faire porter le chapeau aux vieux ? Je vieillis comme tout le monde, mais ne suis jamais malade. Alors dire que je coûte cher à la Sécu, y'en a rasl'bol. Aux dernières analyses (pas vu de toubib pendant quelque quatre ans), je ne souffre de rien, le cœur tourne rond, les poumons font leurs bons offices, etc. Et ma tension est bonne.
Tu as raison : il faut abaisser l'âge de la retraite ; et prendre des congés de pré-retraite pour alléger encore le coût des dépenses.
ah ben oui ça ils y pensent pas, c'est là qu'on voit qu'on est franchement gourverné par une bande de guignols !!! moi j'ai bien vu qu'avec ma pathologie, je me suis tapée un arrêt de travail de 4 semaines quand j'ai fait mon attaque de panique et mes malaises vagaux, les examens, récupérer de la fatigue car c'est épuisant une attaque de panique, et les malaises vagaux pareil on a des vertiges on ne tient pas debout pendant 10/15 jrs .. une médication forte, bref, ça m'a mis dans une mouise pas possible car en SS tu touches 50% de ton salaire, et comme je suis à mi-temps tu vois le truc.. mais je ne tenais pas debout je ne pouvais pas faire autrement !!!
sans compter les lumbagos, les sciatiques, souvent j'avais du bol j'étais en vacances scolaires quand ça m'arrivait mais je me suis vu aller bosser avec une sciatique, je te dis pas .. moi ça ne m'étonne pas du tout et c'est bien fait pour eux déjà 62 ans les gens n'en pouvait plus alors 65 voire 67 n'en parlons pas !!!
bon samedi à toi florentin , et bizouf lo
Bonsoir Florentin, c Est une honte, moi je dois toucher ma maigre retraite en 2019, soit á mes soixante six ans et deux mois, sinon fallait que Je continue Mon métier d assistante maternelle, mais bon plus la santé Ni la forme physique pour garder des enfants á plein temps, CE qui continue malgré tout, pas étonnant qu ils coutent á la sécu, cela aurait été probablement mon cas, bises et bon week end, fanfan
Et que faire alors de ceux qui s'épuisent comme bénévoles dans les associations ou à garder les petits-enfants, qui s'usent les articulations en pratiquant des sports bons dit-on pour la santé...? Je plaisante mais si il existait une solution simple, ça se saurait, je pense.
Bon samedi.
Ta proposition est sans doute trop simple pour les cerveaux à pensée complexe qui nous gouvernent. J'ai lu qu'ils envisagent de faire payer les arrêts maladie par les entreprises elles-mêmes. Sur qu'elles vont être d'accord! ;-)
Bon WE
Ca serait peut être logique, mais la logique de nos jours n'est plus ce qu'elle était!
La puissance du monastère s’accroît rapidement. Tandis qu’une chapelle se dresse au-dessus de la grotte de la sainte, deux églises sont érigées de part et d’autre de l’ancien cimetière, Saint-Martin en 1024 et Saint-André consacrée en 1118 en présence du Pape Gélase II. A cette date, une bulle du Pape Gélase énumère les 80 prieurés qui dépendent déjà de l’Abbaye sur les deux rives du Rhône. Au XIIIe siècle, après le siège et la capitulation d’Avignon, s’ouvre un chapitre nouveau de l’histoire de l’Abbaye avec l’acte de paréage conclu entre l’abbé Bertrand de Clausonne et le Roi Louis VIII en 1226 et confirmé par Philippe Le Bel en 1292. Il reconnaît les droits seigneuriaux des abbés de Saint-André qui les libèrent de la tutelle d’Avignon et ordonne la construction du Fort Saint-André, marche avancée du royaume de France face à Avignon. Le fort sera achevé probablement vers 1372 (constituant aujourd’hui l’un des plus remarquables ensembles de fortifications du XIVe conservés en France). La plus grande prospérité de l’Abbaye royale se situe au XIIIe et XIVe siècle. Le nombre de moines s’élève à plus de 90 et un inventaire de 1307 permet de mesurer la richesse de sa bibliothèque. L’abbaye, bien administrée, jouit d’un domaine temporel considérable sur la rive droite du Rhône, auquel s’ajoute les revenus de près de 200 prieurés dans toute la région Languedoc – Provence. Les années sombres du XVe siècle et surtout du XVIe siècle voient s’accentuer la décadence.
C'est ce qu'on appel un retour de flamme...Les vieux croutons !
Ah! ces vieux qui creusent le trou de la Sécu ...Les fossoyeurs du système !
Et l'euthanasie c'est pour les chiens ?
J'aime beaucoup ton raisonnement .. Surtout qu'il est judicieux .