Le bruit des cabarets, la fange du trottoir,
Les platanes déchus s'effeuillant dans l'air noir,
L'omnibus, ouragan de ferraille et de boues,
Qui grince, mal assis entre ses quatre roues,
Et roule ses yeux verts et rouges lentement,
Les ouvriers allant au club, tout en fumant
Leur brûle-gueule au nez des agents de police,
Toits qui dégouttent, murs suintants, pavé qui glisse,
Commentaires
Bof, bof, je n'aime pas trop.
Alors elles étaient bonnes tes crêpes ?
Bon début de semaine.
Bises
J'aime beaucoup ce texte , merci de me l'avoir fait decouvrir ..une ambiance des plus sombres.
Retour en arrière, presque dans les bas fonds
Amicalement
Claude
Un poème à propos de la débauche. Sacré Verlaine. Je crois me souvenir qu'on me l'a présenté comme un buveur effréné. Ma foi, pourquoi se serait-il gêné ? Ce qui est certain, c'est que ce poème est sombre, tout comme l'illustration jointe au poème.
Quel genre de paradis...?
Artificiel, forcément artificiel...
Bises,
Mo
C'est beau et glauque...