Renoir
Les ingénus
Les hauts talons luttaient avec les longues jupes,
En sorte que, selon le terrain et le vent,
Parfois luisaient des bas de jambes, trop souvent
Interceptés ! Et nous aimions ce jeu de dupes.
Parfois aussi le dard d'un insecte jaloux
Inquiétait le col des belles sous les branches,
Et c'était des éclairs soudains de nuques blanches,
Et ce régal comblait nos jeunes yeux de fous.
Le soir tombait, un soir équivoque d'automne :
Les belles, se pendant rêveuses à nos bras,
Dirent alors des mots si spécieux, tout bas,
Que notre âme depuis ce temps tremble et s'étonne.
Commentaires
Un poème qui annonce bien l'arrivée du printemps .
je n'apprécie pas ce poème… mais bise d'un bon lundi pour toi
merci tes un ange pour moi
douce nuit a plus
Bonsoir Florentin, une charmante poesie de Verlaine, romantique.
Bises et bonne semaine, fanfan
Un rêne éveillé...
Salut Florentin, heureusement que Verlaine n'est pas un contemporain ? On se demande ce qu'il aurait pu écrire....
un poème de Verlaine que je ne connais pas remarque à l'école vont pas nous mettre des poèmes comme ça lol… du moins en primaire !!!
jolie petite poésie…
te souhaite un bon dimanche moi mon ex directrice est passée me prendre on a fait le marché de la varenne toutes les deux on a grignoté au bar, à l'abris du vent, frais, au soleil c'était très sympa et ça m'a fait du bien de sortir autre que pour le médical.
une belle journée à toi et un gros bizou flo
Bonsoir Florentin,
un passé plein de charme...
Bises,
Mo