Femme couchée de Gustave Courbet
J'ai peur de la femme qui dort
Sur le canapé, sous la lampe,
On dirait un serpent qui mord,
Un serpent bien luisant qui rampe.
Je ne suis pas un homme fort,
Mais ce soir le sang bat ma tempe.
L'amour va bien avec l'amour ;
Mon poignard, essayons ta trempe.
Arrêtons son rêve menteur,
Nulle langueur, nulle senteur,
Acier, n'empêchera ton oeuvre.
Oh lâcheté ! Le lendemain
J'aspirais l'odeur de jasmin
De ma triomphante couleuvre.
Commentaires
Heu, voilà un poème qui ne m'inspire pas. J'ai l'impression que ces vers ne sont que des jeux de mots mis bout à bout.
Bonjour Florentin bon moi je n'ai pas peur des femmes serpents j'en ai connu (rires) mdr...
Joli poème , j’espère que ta semaine commence bien ici ça va la chaleur à disparue je te souhaite une belle semaine , amitié.
Un poème perturbant ...
Bonjour Florentin, bien illustré ce poème !
Gros bisous
Bien illustré ce poème !!! une ode à la femme !!
Belle journée Florentin, gros bisous
alien ?
mdr
bonne semaine
pouty
Bonjour Florentin,
j'hésite à comprendre quel est ce poignard dont il veut tester le trempe...
Bonne soirée à toi et bises,
Mo
bonsoir florentin ,
n'ayant pas assez de connaissances pour les grands maîtres de la peinture belle fin d'après-midi et bisous monette
Waouh ! avec un Courbet en prime !!
Charles CROS : poète et....Inventeur
ah ! ce Courbet et les femmes, ça devait être un chaud lapin !...
Bon dimanche Flo
C'est reptilien...
C'est reptilien...