Toile de JB.Reiter (1813-1890)
Quelquefois ...
Quelquefois, après des ébats polis,
J'agitais si bien, sur la couche en déroute,
Le crincrin de la blague et le siste du doute
Que les bras t'en tombaient du lit.
Après ça, tu marchais, tu marchais quand même;
Et ces airs, hélas, de doux chien battu,
C'est à vous dégoûter d'être tendre, vois-tu,
De taper sur les gens qu'on aime.
Commentaires
Étrange poème que celui-ci. Serait-ce un éloge de la méchanceté, de la dureté, de la violence ?
C'est fou comme les femmes ont inspiré les poètes, ils peuvent nous en remercier ..
Bonne journée printanière.
Une écriture tout en finesse et un poème que je découvre : merci !
bravo la poesie dominicale, un peu dure quand meme , amitiés
bon lundi florentin avec le soleil c'est chouette je vais avec mon ancienne directrice , à manger une salade composée dans son jardin ! ça va être sympa !
je t'embrasse , bon début de semaine bibi flo
bon lundi florentin avec le soleil c'est chouette je vais avec mon ancienne directrice , à manger une salade composée dans son jardin ! ça va être sympa !
je t'embrasse , bon début de semaine bibi flo
Un texte poétique pas très gentil ..
bonjour florentin,
on est gâté avec ce petit poème oh oui ce quelque fois n'est plus la grande faucheuse est passé par la( sourire) belle soirée et gros bisou monette
Bonjour Florentin,
un instant de poésie ça fait du bien par les temps actuels...
Bises.
Bon après-midi,
Mo