Auteur : Florentin
Date de création : 14-08-2014
Poésie dominicale : JC.Jugan
Amère victoire
Antoine de Bourbon, duc et prince consort
De France et de Navarre, au coeur d'une bataille
A l'entour de Rouen, haranguait la piétaille,
Quand un pressant besoin décida de son sort.
Empêtré dans l'armure, et bien sûr sans renfort,
De la maudite brague il trouve enfin la faille,
Quand atteint par un tir d'arquebuse il défaille.
Avant l'instant béni que méritait l'effort.
Il y perdra la vie et malgré la victoire,
C'est ce triste avatar que retiendra l'Histoire,
Car à périr ainsi nous n'en eûmes point cent.
Entre mille autres traits de la gent pamphlétaire
On doit cette épitaphe au cynique Voltaire :
"Ayant vécu sans gloire, il mourut en pissant".
Commentaires
Moralité, les besoins pressants n'urgent pas...
Bonjour, c'est excellent, le pauvre ! je te souhaite une bonne journée, bisous
Bonsoir Florentin,une mort peu victorieuse,rire,j ai mon fils ainé qui a fait du combat médiéval,l'armure est très lourde,il n'a pas continué car sous la chaleur il pensait étouffer et au moyen age qu'importe la météo c'était ça ou perdu d'avance,bonne semaine à toi,bizzz
Ce n'est pas un citron mais un pamplemousse de mon pamplemoussier! Eh oui, presque un kilo... Bon mardi.
j'aimerais bien mourir en rando en pissant derrière un talus
à l'époque y avait pas de couches ! ptdrrr pour fuites urinaire .. le pauvre de peur peut être ???
pour répondre à ta question non je ne parle pas couramment espagnol mais baragouine j'arrive à me faire comprendre, on prendra un avocat pour qu'ils s'occupe de tous nos papiers administratifs.. inscriptions etc.. cest le mieux car les notaires ne sont pas comme chez nous ne vérifient rien , le notaire le remplace et c'est pas le plus cher.. 2000 euros pour tout faire.
en plus là bas ils parlent français, anglais, allemand donc j'ai jamais eu de difficultés à majorque pour me faire comprendre j'ai fait allemand première langue et anglais deuxième langue , j'arrive en mélangeant 2 langues à me faire comprendre, en plus à Soller ou je veux aller y a beaucoup de majorquins de l'âge de maman qui vivent là bas, à l'époque se sont installés comme commerçants, comme les parents de JO et sont restés et même à soller je crois que c'est la seule ville de l'ile à parle r français , le tabac ils parlent français , le boulanger aussi, là ou je vais .. dans les années 1800 et quelques un bateau français s'est échoué sur l'île et ils sont restés vivre là bas ça doit venir de là .. de toute manière j'irai au cours du soir pour apprendre le majorquin.. gratuit offert par la ville à tout expat qui s'installe .. mais le majorquin c'est pas l'espagnol c'est un dialect comme le catalan.; c'est pas compliqué en plus c'est parlant..
ce qui me fait le plus peur c'est de quitter l'appart de maman , vendu et la jonction avec la location qu'on aura là bas.. que maman ait tout sur place.. son fauteuil médicalisé pour sa sieste etc.. tu vois.. on part sans trop de truc on rachète tout là bas ça vaut pas le cout de payer le frêt qui est horiblement cher deplus souvent les maisons là bas sont vendus meublée on rachètera les lits, tables , chaises à ikéa palma .. comme on avait fait pour l'appart de maman, on avait investi 1% de la vente.. là on fera pareil..
bon on en est pas là, ça sera surement pour l'année prochaine ma retraite est provisoire car souci en début de carrière des recherches a faire ! depuis c'est statut quo ... pénible ..;
te souhaite une bonne journée et un bizou flo
Des ennuis de prostate sans doute.
Bonsoir Florentin, il est quand même rentré dans l'histoire...
Voici les explications pour le jardin du Tripot
Il fut appelé jardin après sa restauration et sa requalification en parc urbain de 7 000 m2 depuis 2013, l’endroit s’est successivement appelé allée puis impasse du Tripot. Historiquement, ce passage, attenant à la rue Notre-Dame, permettait de suivre la rivière La Claire (qui la longe toujours) et d’accéder à un moulin à blé. De curieux bacs y ont été mis à jour lors de sa rénovation. Il s’agit des vestiges des anciennes tanneries (on en comptait 3 en 1662 dans ce quartier) qui étaient installées à cet endroit pour profiter du cours d’eau. C’est de cette activité que proviendrait le nom de « tripot », un mot qui désignerait les cuves utilisées pour frotter les peaux. Cette origine n’est toutefois pas certaine, « tripot » étant utilisé pour désigner des cuves salines et non de tanneurs ! Par ailleurs, un acte ancien fait mention, à proximité, d’une maison où l’on pratiquait le jeu de paume. Or, ce jeu de la « courte paume » se pratiquait dans une salle que l’on appelait « tripot ». Le terme, dérivé de l’ancien français Tripper signifiait frapper du pied. À Chartres (Eure-et-Loir), c’est l’explication que l’on donne à l’impasse du Tripot qui abritait l’entrée d’une salle de jeu de paume.
Bonne fin de dimanche, bises, fanfan
Bonjour Florentin oui pas mal ce poème , bon si il est mort en pissent ce n'est pas le pied MDR.
Monaco hier à fait une belle remontée lol ah là là il tienne une belle pépite en là personne de Ben Yedder qui pourrai bien coiffer Mbappé au classement du meilleurs buteur , Monaco est là 2 em quel suspens Renne ou Monaco ha ha...
Bonne fi de journée et très bonne semaine , amitié.
Bonjour Florentin
Je ne connaissais ni ce poème ni cet épisode guerrier qui en fut l’origine...
Pas très glorieux, tout ça mais c'est humain...
Bises.
Bon après-midi,
Mo
La guerre ce n est pas la gloire!
Bon dimanche
Une très méchante histoire guerrière ou la gloire fut chassée par les circonstances.