Description vivante d'une école de campagne et du village qui l'abrite. Descrption scrupuleuse aussi de la vie d'un instituteur entre les années 45 et 70, en un temps où, respecté, il partageait la notoriété avec le maire et le curé, où il rendait autour de lui une multitude de services (secrétariat de mairie ou d'associations, assistance administrative, animation de la vie du village, etc). Une seule réticence à l'approbation totale de ce récit : ce maître d'école est décidément trop édifiant et trop exemplaire !
Ecriture sans génie, mais travaillée, d'un auteur qui devait être lui-même instituteur ou, en tout cas, vivre dans son univers immédiat.
Commentaires
J'ai eu un instituteur qui s'appelait M. Guignard dans ma prime jeunesse... je me rappelle à peine de lui en revanche je me souviens bien de sa femme qui était très "nouvelle cuisine" et qui nous faisait manger de la salade bouillie à la cantine...
Bonjour Florentin,moi qui aime les romans terroirs celui ci me conviendra,l'époque d'antan,j'ai connu cette époque aussi ou on se levait quand le directeur entrait dans la classe et ou le matin la morale était écrite sur le tableau avant de commencer le cours,je pense qu'aujourd hui encore beaucoups de bons professeurs qui y mettent du leur pour l'avenir des gamins et l'actu montre parfois ce qu il en paye aussi,important un bon professeur,bonne journée à toi,bizz.
bonjour Florentin le petit bonjour du mercredi belle journée a toi
Coucou florentin, l'instituteur dans ce temps là avait un impact fort dans un village autant que le maire et le médecin, lorsqu'on était dans l'enseignement c'est qu'on avait réussi sa vie,ils étaient respectés et aimés pour la plupart.. je me souviens de mon institutrice de cp CE1 qui était admirable, qui portait ses élèves vers le haut, pleine d'empathie,de douceur,quel énorme chagrin ai je éprouvé lorsqu'elle est décédée..par contre en CE2 c'était une tortionnaire, punition corporelle à volonté... mais dans l'ensemble j'ai aimé allé à l'école,ce qui était dérangeant c'est qu'on ne remettait jamais en question ce qu'enonçait le maître ou maîtresse,il avait le pouvoir... maintenant le respect est passé à la trappe, c'est devenu un métier dur confronté à la violence même des parents, comment peut on toujours avoir cette passion a enseigner à des enfants ou jeunes qui n'en ont rien à faire et qui à la moindre réprimande risque de se faire castagner par les parents..et pourtant l'enseignant reste le dernier pilier d'éducation pour certains enfants délaissés..mes enfants ont la chance de vivre dans une petite ville et si tout n'est pas parfait leurs chérubins bénéficient d'un bon enseignement....un livre qui doit se laisser lire facilement,qui reflète une époque révolue.... très douce fin de journée, bisous à toi...
C'est vrai qu il avait son importance c était une vocation
bonjour cher ami, je ne connais pas ce livre, mais tout ce qui fait honneur aux instituteurs de campagne je suis avec, je n'oublierais jamais mon institutrice et mon instituteur de 1933 a 1939, comme celui de ce livre, ils avaient tout pour eux , je leur dois tout, la soif d'apprendre notamment qui ne m'a pas quitté à 96ans , ça existe les instits admirables et exemplaires , nous devrions tout faire pour les defendre ! amities
Bonjour Florentin bon mardi a toi bises
Coucou Florentin
C'est peut-être toi qui a écrit ce livre...un sujet que tu connais bien.
Pour le déménagement, c'est le centre où je suis bénévole qui déménage.
Des jours à tout vider....dur,dur.
Bonne journée et bonne fête
Bised
Salut Florentin, il y a toujours un livre simple qui raconte une histoire de vie et qui souvent fait référence avec le temps qui passe… l'écriture est souvent un défouloir ou un marqueur de bien des sensibilités...
Bonjour Florentin, j'aime beaucoup ce genre de lecture sur la vie autrefois dans les campagnes, les romans du terroir, comme tu le dis si justement écrits sans génie mais avec passion...
Bises et bonne semaine, fanfan
Bonjour Florentin,
je garde un excellent souvenir de mes instituteurs en primaire (début des années 50) et même du collège...
Ils étaient respectés à l'époque, aussi bien par les élèves que par les parents...
Bises.
Bonne soirée,
Mo
Contrairement aux autres commentaires, je suis plus mesurée. Il y avait de bons instituteurs certes, exemplaires, mais aussi de vraies brutes et il ne faut pas oublier la très forte sélection sociale à la sortie du primaire. Tout n'était pas rose... Bon mardi.
bonjour Florentin
oh oui temps regrétté
A mon époque l'école fonctionnait très différemment. Il y avait surtout de la discipline et les enfants respectaient leurs instituteurs. ce qui n'existe plus nous aions des cours de morale devenue hélas innexsistants hélas belle soirée amitié monette
Il n'y a plus d'instituteurs comme avant, c'est bien dommage et les enfants n'ont plus aucun respect...
Je te souhaite une belle journée bisous
Ce roman suscite sûrement la nostalgie d'une époque révolue. Quand on voit le "big bazard" qui règne dans les écoles primaires et dans l' Éducation Nationale actuellement... il y a de quoi s'arracher les cheveux.
Le sacerdoce de ces hussards de la République n'est plus de mise...
Bon lundi et bonne semaine Florentin. Une bise d'ici. Seringa.